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Djaga
« Djaga » signifie sacrifice, dans le sens où l'on donne pour recevoir.

Création 2006

Cinq danseurs et deux musiciens, soutenus par une scénographe pour les décors vont revisiter le mythe de Pinocchio. Sommes-nous des marionnettes, sommes-nous de bois ?

Joseph Aka, dans la poursuite de la quête de soi initiée dans « Naît-Sens », s'intéresse cette fois aux entraves nouées dès l'enfance, que l'adulte défait dans la douleur.
Du cordon ombilical à l'attache culturelle et sociale, au fil du temps, les chaînes se relâchent, se dissolvent et la marionnette vient à la vie.
Un jour on se réveille et on est SOI. Un jour on bouge seul ses jambes et ses bras, un jour on pense seul, plus léger mais plus dense. Un jour, l'esprit autrefois enchaîné se déchaîne, et on signe de son âme le contrat qui nous lie à la vie.
Sacré-Homme. Trouver sa conscience, trouver sa fée bleue. Il y a le premier cri au sortir de la mère, puis un autre, moins audible mais tout aussi douloureux, celui de la rencontre avec SOI.

Djaga Djaga Djaga Voir la vidéo  Voir la vidéo

© Joseph Aka Compagnie, 2013
Photographies ci-dessus en noir et blanc © Reynald Reyland

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